L'autisme est à la mode en ce moment, ce qui donne des ouvertures à toutes sortes de théories et de discours, allant du sérieux au commercial, au farfelu,et bien d'autres encore. Alors que certains en profitent pour vendre qui du CBD, qui de la spiruline, ou même de l'eau, d'autres vous donnent des conseils soi-disant précieux, pendant que quelques uns vous explique combien vos autistes sont extraordinaires et merveilleux.

Je voudrais ici et maintenant, me mettre du côté des parents qui trouvent que leurs autistes sont lourds à supporter, du côtés des parents qui n'ont pas les moyens de payer des produits très chers pour leurs autistes, des parents qui ont mis en pratique tous les conseils sans jamais parvenir à calmer leurs autistes. À tous ces parent-là je voudrais exprimer ma solidarité et les tranquilliser en démystifiant toutes ces fariboles.

Tout d'abord les remèdes miracle n'existent pas. Si quelques remèdes, naturels ou pas, parviennent à améliorer l'état de votre autiste, actuellement, aucun ne guérit.Certains parents ont réussi toutefois à guérir leur autiste grâce à une combinaison de plusieurs remèdes et diètes. Mais tout ce qu'on tente de vous vendre comme étant la panacée, n'est qu'arnaque. Des parents mettent toutes leurs économies et se privent, pour avoir le truc qui fera des prodiges sur leur enfant. Et bien, cessez tout de suite, inutile de vous ruiner pour calmer votre autiste, aucun remède ne vaut toute cette peine. Cessez de croire le premier venu qui tente de vous faire gober que son produit est le meilleur et que, preuves à l'appui, il améliore tellement la vie des autistes qu'ils peuvent se passer de neuroleptiques ( pour ceux qui en prennent). Sachez que tous les parents qui ont testé ces produits ont laissé leur enfants ou adultes sous neuroleptiques. Alors à quoi bon dépenser des sommes folles pour calmer tout en conservant les neuroleptiques. D'autres part, rien ne dit comment ces produits vont interagirent avec les médicaments chimiques. Car ces nouveaux gourous de la “science” avant d'être happés par une multinationale américaine, étaient : plombier, secrétaire, machiniste...

il n'y a rien de scientifique là-dedans. Ces gens ne font que répéter ce qu'on leur à fait lire sur les brochures des firmes qui les emploient.

Et puis il y a les nouveaux “éducateurs” en herbe, qui donnent de si précieux conseils, que nous, parents d'autistes, sommes assez stupides pour ne pas avoir tenté ou établis de puis longtemps. En voici quelques uns :

Comment être une maman d’enfant Extraordinaire sans perdre la boule !

1 Votre enfant se met à crier

Formulez de manière positive.
Dîtes «peux-tu me parler doucement ?» et non pas «arrête de
crier».

1 UBDM

Tout d'abord quand un autiste crie, il ne parle pas il crie. Et pour couvrir ses cris il faut parler fort. D'autre part, ses cris ne sont pas volontaires, on ne peut donc pas les faire cesser, juste parce qu'on le lui demande de façon allégée.

Ce conseil s'applique à tous les enfants sains.

2 Votre enfant vous regarde, alors que le contact avec les yeux n’était pas établi. Il vous sourit. Il émet des sons alors qu’il est non verbal.

Exprimez-lui votre contentement. Dîtes « bravo, c’est génial ! »
De cette manière, ça lui donnera envie de recommencer et
d'aller de l'avant.

2 UBDM

Il faut commencer par déchiffrer ce message un peu embrouillé, qui sent les séances chez le psy : si votre enfant vous regarde, le contact avec les yeux est établi. Ce besoin qu'on les psy à forcer les autistes à vous regarder en face, ne s'applique la plupart du temps pas à autrui, adulte comme enfant. Au contraire, dans nos société, il est mal vu de tenir le regard de quelqu'un. Un autiste peut sourire, sans que cela signifie que c'est pour vous, ou grâce à vous. Il émet des sons comme un animal et il faudrait le féliciter pour cela? Cette personne prend ses désirs pour réalité. En fait, les autistes sont des déceptions quotidiennes pour leur parents au niveau sentimental; car ils ne répondent pas du tout aux critères que nous connaissons. Il est faut de vouloir calquer nos manière de voir les sentiments avec les façons d'y répondre des autistes. Votre enfant a souri, chaque mère aimerait que ce sourire s'adresse à elle, hélas chez les autistes il n'en va pas ainsi. Rien dans tout cela ne veut dire que votre enfant va de l'avant.

3 Le comportement de votre enfant vous pousse à bout

Pensez que votre enfant fait de son mieux, même dans la pire
des situations.
Respirez : à fond et lentement, répétez 10 fois.
Faites cet exercice chaque jour. Vous obtiendrez un résultat inespéré.
Lorsque vous êtes confrontée à une situation qui vous échappe, appliquez ces respirations,vous constaterez très vite que votre niveau de calme s'améliore

3UBDM

Voilà qu'on vous conseille une attitude zen. Des fois que vous n'y auriez pas pensé. Donc, votre enfant se précipite contre le mur, s'arrache les cheveux et hurle, pendant ce temps vous respirez calmement. Soyons un peu sérieux, les parents d'enfants autistes ont un niveau de patience qui atteint le stoïcisme, inutile de les prendre pour des imbéciles avec ce genre de conseil.

4 Votre enfant veut ceci ou cela et vous n'êtes pas d'accord

Bannissez le mot « non » car il enlève tout contrôle à votre enfant, préférez utiliser :
« je vais réfléchir, plus tard, une autre fois, pas maintenant ».
Le savez-vous ?Les autistes vivent dans un monde qu'ils ne comprennent pas, car ils veulent tout contrôler.

4 UBDM

Là on vous incite à mentir pour avoir la paix. Tous les parents l'ont déjà fait ; et spécialement les parents d'autistes. Ce qui ne veut pas dire que cela soit une bonne recommandation, car votre enfant est loin d'être sot, et se souviendra que vous lui avez dit la prochaine fois. Ce qui amplifie le problème pour les fois suivantes. Dite-lui la vérité sans être trop tranchant avec un non vif, tout comme vous le feriez avec vos autres enfants. Un enfant sain est tout autant choqué de ne pouvoir choisir et de trouver porte close devant un non franc et affirmé qu'un autiste. C'est juste que chez un enfant sain, la peur guide ses actions, alors que l'autiste n'a pas peur. Les autistes comprennent bien plus de choses en ce monde qu'on ne veut bien le croire, ils sont handicapés, pas idiots.

5 Votre enfant « fait une crise »

Votre entourage vous donne ce qu'il considère de « très bons conseils ».
Avant tout, écoutez-vous, vous êtes la personne la mieux placée pour savoir ce qui est le meilleur pour votre enfant

5 UBDM

Enfin on arrive à la vérité : on ne sait pas vous répondre. C'est joli d'extrapoler sur des poncifs ou de surfer sur des modes, mais lorsqu'il faut de vrais conseils, on vous recommande de vous débrouiller seuls !

Pour répondre à cette question vous pouvez lire notre article.

Je vais m'arrêter là pour ces “précieux” conseils qui, comme vous le constatez, sont du bon sens à la portée de tous, et pour tous les enfants quels qu'ils soient.

Nous avons aussi les bobos, qui nous offre tout un panel de leur vision féerique de l'autisme : nos enfants extraordinaires. Certains vont même jusqu'à affirmer, qu'ils sont fiers d'avoir un enfant autiste ! Cependant, tout comme dans X File, la vérité est ailleurs. Nos enfants sont extraordinaires dans le sens littéral du terme, ce qui n'est pas un bien. Beaucoup de parents aimeraient avoir un enfant « normal ». Cette mode qui démystifies l'autisme en montrant cette grave maladie comme un état différent, met les parents d'autistes dans des situations kafkaïennes. Comme si élever un autiste n'était pas assez dur, il faut en plus se dire qu'on a de la chance. Tous et toutes nous avons rêvé d'être seul/e, rien qu'un jour, sans lui/elle, nous avons pensé qu'il/elle nous exaspérait, qu'il faudrait le placer en institution, qu'il/elle était un cauchemar vivant. Cela ne fait pas de nous des monstres, cela fait de nous des parents d'autistes.

Mais n'oubliez pas

Selon certain/es, le suicide serait une lâcheté et selon d'autres, un ultime courage.

Il faut comprendre comment la souffrance et le stress peuvent élimer tout ce qu'il y a de réserve en chacun/e de nous pour imaginer l'état d'esprit de celui/celle qui se suicide.

Le suicide cache souvent des blessures secrètes ; mais chez les parents d'autistes, la somme du stress, la culpabilité, la frustration, le sentiment d'impuissance sont si lourd à porter que quelques personnes ploient et ne se relèvent pas. Quand en plus la pauvreté et l'administration (a.s.e.) s'en mêle, on ne peut plus relever la tête et la mort est le seul débouché qui reste.

On ne compte plus les faits divers qui parlent de suicide de parents d'autistes, sans que ça émeuve un temps soit peu la communauté, persuadée que les autistes sont bien gérés par la société.

Ces suicides, on les cache tout comme les autistes. La société ne veut pas voir ce qui va mal et pourtant... combien de parents d'autistes se suicident avec leurs enfants ? Aucun parent d'autiste lourd ne pourra dire qu'il n'a jamais pensé à se donner la mort. Les réactions de la foule et des proches sont souvent l'incompréhension pour les uns, la critique sévère pour les autres. Mais rien n'est pire que de tuer son propre enfant.

Nancy : une mère condamnée à 16 ans de prison pour avoir tué son fils autiste

États-Unis : inculpé pour le meurtre de ses fils autistes, morts noyés

Il appelle le 911 et avoue le meurtre de son fils autiste

Une mère suicidaire de Washington accusée du meurtre de ses jumeaux autistes

Et la liste est longue encore.

Si certain parents pètent les plombs, d'autres tuent leur enfant par compassion : quand ils ont tout essayé, quand ils ont vu leur enfant souffrir trop longtemps sans résultat, quand ils ont été séparés d'eux, et les ont retrouvé des mois plus tard en complète régression, quand leur enfant ne parle que pour dire qu'il a mal, quand il se frappe si violemment qu'il en ressort meurtri sur tout le corps, quand il demande pardon maman ou papa de les avoir frappés et de les voir pleurer, quand il est aussi mou qu'une poupée de chiffon et semble totalement ailleurs... alors oui, on se dit que dans la mort, au moins il ne souffrira plus ; et pour les croyants que Dieu l’accueillera dans son paradis.

Certains parents sont à bout de ressources, ils sentent qu'ils ne peuvent plus avancer et qu'il leur est impossible de reculer. Pour ceux-là, le suicide collectif est la seule option valable.

Et enfin d'autres parents subissent la violence physique et psychique de leur enfant : coups de tête, de poings, morsure, tir de cheveux, crachats, insultes... alors, soit sur un coup de tête en défense ils tuent leur enfant à coups de couteaux, soit ils l'endorment une nuit avec des somnifères ou du gaz.

Il faut avoir passé par ce long processus pour comprendre le désespoir poignants de ces parents qui n'ont pas pu aller jusqu'au bout du chemin de l'enfer. Nul/le n'est en droit de les juger. La société, et plus particulièrement les sociétés qui se targuent d'être civilisées, devraient être couvertes de honte de ces faits dramatiques qu'elles appellent faits divers.

L'associatin une brique dans le mur est de tout coeur avec ces parents brisés par une destinée cruelle et une société inhumaine

Marsha R. Mailick, PhD a publié une étude comparant le stresse des parents d'autistes à celui soldats revenant de guerre. 

En effet beaucoup de soldats, revenus de guerre, voient resurgir en mémoire et physiquement le traumatisme de ce qu'ils ont vécu, dans la vie de tous les jours. Par exemple, un bruit d'une machine creusant la chaussée, peut lui rappeler l'éclat d'un fusil et ce qui l'accompagne. Chez les parents d'autistes c'est pareil : même non accompagnés de leur autiste, les cris aigus des oiseaux ou les pleurs des bébés les amènent directement au stresse de la crise que leur autiste fait quand il entend ces bruits. Ils revoient le regard dur et réprobateur des passants, comme le soldat revoit son camarade blessé, tombé à ses côtés. Les parents ressentent encore les coups de leur autiste, qu'ils ont essuyés sans pouvoir se défendre, comme le soldat se crispe sur l'impact d'une balle reçue dans la cuisse.

À la guerre le soldat doit être sur le qui-vive nuit et jour, il en va de sa vie. Pour les parents d'autiste c'est identique. La moindre inattention et votre autiste file sur la route, fugue si vous oubliez juste une fois de fermer à clé, met le feu à la maison si vous avez laissé un briquet à sa portée, vole dans les magasins et s'en va, alors que vous avez juste tourné a tête vers une promotion. Vous êtes réveillé en plein nuit par des hurlements, comme le soldat est réveillé par un tir de mitraille au loin.Cette tension de chaque instant est un poids que peu de gens peuvent supporter sur un long terme. Pour les soldats la guerre ne dure généralement pas plus de cinq ans, pour les parents d'autistes elle dure toujours.

Le soldat peut rentrer chez lui pour apaiser ses traumatismes, les parents d'autistes vivent ces traumatismes chez eux. Le soldat revient dans la société en héro, la société rejette les parents d'autistes.

Voici quelques traumatismes que vivent au quotidien les parents d'autistes :

1. supporter tous les jours les écholalies

2. être aux aguets dedans comme dehors

3. craindre les crises

4. céder aux caprices pour ne pas être frappés

5. renforcer leur maison contre les coups

6. cacher tout objet qui pourrait être dangereux pour leur autiste

7. penser à tout tout le temps

8. ne pas avoir de vie sociale et amoureuse

9. garder son calme tous les jours en toute circonstance

10. savoir que quoi qu'ils fassent leur autiste ne guérira pas

11. être sans cesse jugés par les psy les gens, les prof...

12. ne pas pouvoir dialoguer avec son/sa fils/fille

13. ne rencontrer aucune émotion dans le regard de son autiste

14. ne pas pouvoir serrer son enfant dans ses bras

15. culpabiliser quand on craque

16. vivre le reste de sa vie rongé par le remord d'avoir dû placer son autiste en institut

Le traumatisme du soldat peut se soigner car il peut s'en éloigner sans regret et sans remord. Celui des parents d'autistes sera toujours présent. Leur vie est à jamais liée à leur autiste pour le pire et le pire.

Il serait temps que la société respecte ces héros/héroïnes du quotidien, que les médecins, et particulièrement les psys, tiennent compte d'eux dans un travail commun.

Une brique dans le mur est à votre écoute

La folie qui gagne les états et les peuples quant au covid et ses variants est telle qu'on en oublie toute forme d'intelligence et de respect d'autrui.

On sait déjà que certains vaccins sont à l'origine de l'autisme et autres dérèglements neuronaux, aussi il est plus que surprenant que certains parents d'autistes se plaignent qu'un vaccin contre le covid, plus que douteux, n'ait pas pu être administré à leur autiste.

Mais en fait ce n'est pas tant le vaccin qu'ils regrettent, c'est surtout le confinement trop lourd que les autistes subissent dans les centres qui rend les parents nerveux. On leur fait du chantage en leur disant que quand ils seront vaccinés, ils pourront à nouveau sortir et exercer des activités comme auparavant.

En France l'état se soucie déjà fort peu de son peuple, mais moins encore de ceux qui sont handicapés.

Le peu d'aide qui était offerte aux parents leur est retirée dans les périodes les plus dures. Les parents ont peur de sortir avec leur autiste, à cause des policiers qui risquent de bondir sur leur enfant, parce qu'il ne porte pas bien son masque. Déjà stressés au quotidien, les parents d'autistes se retrouvent coincés et sans aucune aide. Le seul moyen qu'on leur offre c'est de faire vacciner leur enfant. Ce chantage au vaccin est immonde et illégale, mais en attendant que les vagues contestataires obtiennent raison, ou que le gouvernement fasse une politique meilleure, les parents d'autistes luttent avec courage pour continuer de vivre au mieux.

Une brique dans le mur les accompagne de tout coeur

Lorsqu'on parle d'autisme, la plupart du temps on vise la petite enfance, comme si cette maladie venait de naître, juste parce que les médias ont décidé de la mettre à jour. Mais l'autisme semble avoir existé depuis longtemps, simplement on ne le nommait autrement ; les aspergers étaient de « crétins savants », les Angelman étaient des « débiles », et Rett représentait des « anormaux ». Aujourd'hui les noms changent, mais pas les mentalités ; car entre les discours et les idéologies des sites internet, la tangibilité fait figure de dinosaure. Il suffit de se promener en grande surface avec un ado autiste et vous verrez alors le fossé qui sépare les discours de la réalité. Si vous cherchez sur le net « adolescents autistes », vous trouverez spécifiquement des Aspergers, pour tous les autres, pas de solutions.Tous les autistes ne sont pas Aspergers et loin de là ; les Aspergers ne représentaient que 0,3% des cas en 2011. Alors pourquoi cette focalisation sur eux en particulier ? Et bien parce qu'avec eux on peut mettre en avant la réussite de méthodes, on peut espérer qu'ils mettent à profit leur immense talent au service de la société et que lorsqu'il seront en mesure de travailler, ils servent les intérêts de grands groupes financiers ou autres multinationales.

Vous me pensez sans doute cynique et de mauvaise foi, ou encore complotiste ; hélas la sombre évidence dépasse ce que je viens de dire. Que fait-on des adolescents incapables de se débrouiller seuls, qui piquent des crises où ils cassent tout ou attaquent les gens, qui passent leur temps devant la télé ou l'ordinateur à regarder des dessins animés pour l'âge de 4 ans ? On les drogue et on les enferme en hôpital psychiatrique. Ils ne servent à rien. La plupart du temps on les laisse à leur parents. Tous les centres, si bien intentionnés dans le discours, ferment subitement leur porte pour ces ados, qui ne correspondent pas à leur méthode ou organisation.

Les autistes majoritaires, c'est à dire tous ceux qui ne sont pas aspergers, ou n'ont pas un déficit flagrant, sont des laissés-pour-compte dont la société ne sait que faire. En focalisant le problème de l'autisme sur les Aspergers, on évite de devoir avouer, que la masse des autistes est incomprise et qu'on ne la soigne pas plus qu'on ne se préoccupe de son bien-être. Derrière cette fatalité il y a des parents qui ont tout essayé depuis les premières théories jusqu'aux recherches les plus récentes, des parents qui sacrifient leur vie pour leur enfant et ne reçoivent que commisération ou pire qu'on culpabilisent.

Les adolescents autistes existent bien pourtant, malgré que les médias ne les rencontrent, qu'à condition qu'ils soient aspergers ou qu'ils se prétendent comme tel ; car se syndrome a ça de bien que n'importe quel hypocondriaque peut se faire passer pour un « aspie » c'est « in ». Combien de familles traumatisées par des journées éreintantes qui se retrouvent contraintes de placer leur enfant et les retrouvent parfois dans des conditions dignes des tortures, par ces pseudos spécialistes qui ne savent pas que faire pour eux.

Croyez-vous que les parents d'enfants autistes imaginent cela, quand ils placent entre les mains des psychiatres en toute confiance leur enfant ?

C'est pourquoi n'attendez pas de vous trouvez confrontés à ce problème, ne sombrez plus d'espoir en désespoir et rejoignez-nous !!