une brique dans le mur

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Message aux parents

Aujourd’hui je veux m'adresser aux parents des enfants ou adultes handicapés cérébraux. À tous ceux et celles qui ont pris perpétuité pour avoir eu un fils ou une fille handicapé. Arrêtez de culpabiliser, vous n'êtes pas responsable de l'état de votre enfant. Lorsque vous allez chercher sur Google les causes de l'autisme, la plupart du temps, c'est pour vous dire qu'on ne les connaît pas et vous balancer les causes génétiques ou autres balivernes ficelées dans un langage pseudo-scientifique  auquel la plupart des gens ne comprennent rien. En enrobant leurs théories fumeuses de mots inventés qui sonnent savamment aux oreilles, on donne aux parents d'enfants atteints de maladies neurologiques, l'impression d'être des idiots qui ne sont pas à même de comprendre toute l'étendue de ces maladies. Alors d'un côté on vous demande de faire confiance aux spécialistes, et de l'autre vous devez vous occuper seul de votre gosse, à vie.

 

 

Lorsque vous faites un enfant, il y a un processus de vie : bébé, il est craquant, il fait sa première dent, son premier sourire, son premier pas, vous attendez impatiemment son premier mot, vous poussez fièrement son landau dans les rues de votre ville. Il réunit le couple et les amis autour de lui. Les inconvénients de ce premier âge : le bébé pleure souvent pour réclamer à manger, pour qu'on le change, pour être portés, les nuits sont courtes et entrecoupées pour donner le biberon ou le sein, on ne peut pas le laisser seul à la maison et on a de la peine à le confier à quelqu'un.

 

 

Enfant de deux à cinq ans, c'est l'émerveillement permanent, il commence à parler et à interagir avec vous, s'ouvre au monde, pose mille questions, première étape de l'indépendance, il mange seul et va aux toilettes. Il commence à apprendre, à se laver, s'habiller, et certains vont même déjà à l'école. Votre fierté grandit avec lui.Les premiers espoirs de papa et maman se forgent : il fera du foot avec moi, il sera avocat comme ma mère. Les inconvénients s'amenuisent, vous pouvez le faire garder, vous absenter, l'emmener en vacances. Cependant, il est toujours dans vos jambes, réclame votre attention fréquemment, les premiers caprices font leurs apparitions.

 

 

 

Enfant de six à dix ans, ça y est votre enfant part déjà dans sa propre vie, il va à l'école, sait s'habiller, a des copains, va en vacances tout seul, peut être gardé très facilement, il sait lire, écrire, il vous parle, vous interroge, communique, n'a plus besoin de vous pour occuper ses journées, peut faire du sport, de l'art, enfin s'ouvre au monde pour lequel il a été créé. Le couple peut souffler un peu et même envisager un second enfant.Les inconvénients : le budget augmente, les caprices deviennent plus onéreux, les problèmes scolaires commencent, la discipline est à établir.

 

 

 

Pré-adolescent de onze à quinze ans, c'est le moment où votre enfant devient un peu votre ami, s'oriente dans la vie et dans ses choix d'études, a ses premières petites amies ou petits amis, crée ses passions, fait des choix indépendants. Vous pouvez partager vos passions avec lui, faire du sport en sa compagnie, rencontrer ses amis.Le couple se retrouve pour des moments plus intimes et voit son enfants marcher sur le chemin qu'ils on tracé pour lui avec fierté. Les inconvénients : il vous échappe déjà un peu vers sa propre vie, certains de ses choix sont discutables ou ne vous conviennent pas, les sorties chez les potes commencent à s'allonger et l'inquiétude grandit avec l'heure qui passe, c'est les premières révoltes et les premiers reproches sur votre éducation.

 

 

Adolescent de quinze à dix-huit ans, maintenant votre enfant n'en est plus un, il entre le monde des adultes, et fait ses choix en tant que tel. Vous pouvez enfin vous reposer car il ne dépend plus de vous. Il a fait ses choix d'études ou de vie, c'est votre ami, votre confident, il a ses premiers amours, et ses premiers chagrins, il vous éblouit peut-être avec ses talents artistiques ou musicaux. Les inconvénients : là vous ne pouvez plus ou peu agir, il décide de sa vie et les révoltes sont violentes. Il lui arrive de ne plus rentrer à la maison pour quelques jours, il prend plus de risques, il passe son permis de conduire, les fêtes sont alcoolisées, les drogues tentantes, la sexualité est très présente et mal gérée elle peut être un grand problème. C'est l'âge où vous intervenez pour la dernière fois.

 

 

 

Après dix-huit ans, votre enfant est adulte et vous pouvez profiter de votre vie de couple, puisqu'il a la sienne. Vous partez en croisière autour du monde pendant six mois, vous lui envoyez des cartes postales, vous décidez d'aller vivre votre rêve en ouvrant un petit hôtel à Bali, peu importe vos envies, vous pouvez les réaliser. Vos amis vous reviennent, vous avez plus de temps pour réaliser vos passions, vous sortez à nouveau en amoureux, vous faites l'amour librement. Les inconvénients : il vous manque, le petit garçon ou la petite fille que vous avez créé, élevé, et auquel vous avez montré la voie. Mais les souvenirs sont là dans vos albums de photo que vous feuilletez tous les deux l'hiver au coin du feu.

 

 

Dans le cas des enfants atteints moteur cérébral, il n'y a qu'une seule période à vie, celle de l'enfant entre 2 et 7 ans. Il a toujours besoin de vous, quel que soit son âge, personne ne veut le garder, aucun centre de vacances ne l'accepte, vous ne pouvez pas partir en vacances, vous ne pouvez pas faire des choses ensemble, toute votre attention et votre temps est monopolisé sur lui, si vous avez d'autres enfants, ils deviennent invisibles, seul l'enfant handicapé compte. Vos journées ne sont tournées que vers lui, vous devez arrêter de travailler pour vous en occuper à plein temps, vous courez quémander de l'aide à toutes les portes des services sociaux. Vous faites vos courses en coup de vent, votre vie de couple n'existe plus, la société vous conspue, vous juge, vous regarde de travers, fait des commentaires désobligeants, vous n'avez plus d'amis, plus de relations. Vous êtes enterrés socialement.

 

 

 

Si votre enfant garde la mentalité d'un gamin de cinq ans, il a la force d'un adolescent ou d'un homme, et ses crises brisent votre quotidien de peur, installent le stress et l'anxiété, vous n'avez plus de relations parents-enfants, mais plutôt surveillant-prisonnier. Votre univers tourne toujours autour du handicap de votre enfant, que ce soit dans les discussions, dans les faits, dans les préoccupations, dans les pensées, et même parfois dans vos rêves, vous êtes prisonniers du handicap de votre enfant, tout en étant son geôlier. Pourtant, vous n'en êtes pas coupables.

 

 

 

On a confié les problèmes des maladies neurologiques aux psychiatres en les nommant « maladies mentales » ; à cause de cela, les progrès de la médecine sur ses maladies ont pris dix à vingt ans de retard.

Pourtant, les causes sont établies clairement par de vrais spécialistes, mais ce qu'ils ont à dire dérange les multinationales pharmaceutiques, agrochimiques, énergétiques, agroalimentaires. Alors on les fait taire en réfutant leurs travaux par des analyses faites par les laboratoires desdites multinationales. Un peu comme si vous demandiez à un accusé de faire l'enquête sur son propre crime. On fait passer les travaux scientifiques de ces médecins pour des affabulations, des théories du chaos, pire certains se sont vus retirer leurs fonds de recherche, voire leur place en tant que professeurs. Ce fut le cas pour Massimo Montinari, un des pionniers à avoir fait le lien direct entre l'autisme et les vaccins.

 

 

 

Ce fut le cas pour Massimo Montinari, un des pionniers à avoir fait le lien direct entre l'autisme et les vaccins. Beaucoup d'autres spécialistes l'ont fait depuis lors comme Maurice Rabache, Boyd Haley, Karl Reichelt, Andrea Pelliccia, André Picot, Samy Sandhaus, Katalin Pasche, Michel Georget, Bernard Filletaz et bien d'autres. Beaucoup de livres ont été écrits sur les méfaits des vaccinations, entre autres par Sylvie Simon, malgré cela, on continue à dire que cette vérité est une théorie non avérée.

Aujourd'hui on sait que les causes de l'autisme ne sont pas tombées du ciel. Voici les principales :

pollution atmosphérique, alimentation, métaux lourds, plombages dentaires, pesticides, additifs alimentaires, vaccins, bisphénol A (contenu dans les plastiques), nanoparticules, médicaments, pollution de l'eau. En bref la société a créé les maladies neurologiques et accusent les parents d'en être responsables et les condamnent à vie à prendre soin de ces handicapés, tout en les obligeant à certaines règles : le malade doit être suivi par un psychiatre, les parents n'ont pas la liberté thérapeutique, le malade doit prendre des neuroleptiques sinon les parents sont accusés de négligence, le malade doit suivre un semblant de parcours scolaire, faute de quoi les parents seront accusés de « maltraitance psychologique », c'est aux parents de chercher des centres, mais attention ceux-ci ne sont pour la plupart qu'une façade pour donner bonne conscience à la société, car ils n'acceptent que des cas légers.

 

 

 

Généralement votre enfant « ne correspond pas » au centre, alors qu'en théorie c'est bien le centre qui devrait se mettre au service du malade et non l'inverse. Un peu comme si vous vous cassiez la jambe et que le médecin vous dise que votre cas est trop difficile pour lui, et que son hôpital n'accepte que les maladies virales légères. Là, on ne plaisante pas, parce quand vous entendez qu'un centre n'accepte votre enfant que s'il a déjà suivi un parcours scolaire et se débrouille seul, ou s'il travaille, on se demande bien pourquoi on devrait le placer. De qui se moque-t-on ? Une majorité d'autistes, de schizophrènes, d'hyperactifs, d'épileptiques, sont dangereux et leurs crises peuvent causer de gros dégâts, tant à eux-mêmes qu'aux autres. Or, quand on vous parle par exemple de l'autisme, on vous dresse un tableau style « autiste asperger », possédant des capacités hors du commun, replié sur lui-même et qui a des difficultés de communication. Bien des parents d'enfants autistes aimeraient que cela se limite à ça.

 

 

Les autistes sont tous des enfants lorsque vous regardez sur le net et dans la réalité les centres ne sont souvent ouverts que pour eux. Mais que deviennent les adolescents et adultes autistes ? Pour les schizophrènes, c'est pire, la plupart finissent leur vie en prison. Ce que la société vous cache, c'est les dégâts de la psychiatrie. Pourtant c'est bien en hôpital psychiatrique que finissent la majorité des malades neurologiques, bourrés de neuroleptiques, attachés à leur lit, se bavant dessus. Mais les parents qui tuent leurs enfants sont conspués, condamnés, méprisés. Pourtant qu'offre la société comme porte de sortie aux malades neurologiques ? Vaut-il mieux mourir rapidement ou le faire à petits feux dans un hôpital psychiatrique ? Les témoignages que l'on peut lire des parents dont l'enfant a fait un séjour en hôpital psychiatrique sont effrayants. Pourtant personne ne porte plainte contre la psychiatrie, qui n'a pas à se justifier ni dans ses méthodes, ni dans ses traitements, ni dans ses échecs. Imaginez votre médecin qui vous donnerait pour votre grippe un médicament qui vous assommerait sans pour autant soigner votre maladie. Comme vous dormiriez la plupart du temps, effectivement vous ne toussez plus, ce qui ne veut pas dire que vous soyez guéri. Et bien le phénomène des neuroleptiques, c'est ça : cacher les symptômes pour faire croire à un mieux être. Normalement pour toute maladie, vous devez passer des tests : scanners, stéthoscopes, radiographies, prises de sang, pas pour les maladies neurologiques. Il suffit au psychiatre d'une petite heure de discussion avec les parents ou avec l'adulte malade s'il peut s'exprimer, pour poser un diagnostic. Un peu comme si vous engagiez un entrepreneur pour refaire votre maison, qu'il en faisait le tour en regardant de haut en bas et qu'il vous dise au bout de trente minutes d'examen, sans avoir sorti un mètre ou noté quoi que ce soit, ça fera 30000 euros pour les réparations générales. N'exigeriez-vous pas de plus amples informations ?

 

Loi de l'incompétence maximale

 

Imaginez maintenant que vous engagiez cet entrepreneur et que le seul travail qu'il fournisse soit de mettre du plâtre ou du placo pour masquer les fissures plutôt que de les réparer, donnant très rapidement une apparence de neuf. Bien sûr sur le long terme, la fissure derrière s'agrandit et finit par démolir la maison. Il en va exactement de même pour le travail des psychiatres qui sont payés grassement, ainsi que leur pseudo-traitement. Et au final, rendent un travail dégueulasse, inutile, cher, qui cache la vraie maladie qui continue à évoluer jusqu'à la mort.

 

 

Encore me direz-vous, vous pouvez toujours chercher un autre entrepreneur, un sérieux, qui fera du bon boulot, pour moins cher. Hélas, on ne vous laisse pas le choix pour les autres entrepreneurs, on les fait passer pour incompétents, et on les empêche de faire leur travail correctement. Plusieurs praticiens en France sont empêchés de soigner les maladies neurologiques comme cet étiopathe qui soigne ces maladies en cachette. Est-il naturel que vous payez des impôts et des assurances pour qu'on vous empêche de choisir vos soins ? Êtes-vous idiots au point de ne pas savoir ce qui peut être bon pour vous ? Après dix ans à vous occuper continuellement de votre enfant malade, n'êtes-vous pas les premiers à savoir ce qui est bon pour lui ?

 

 

Non seulement la société se trompe, mais elle vous oblige à suivre une mauvaise voie.

Pour les parents, difficile d'être juge et parti, ils doivent faire en sorte de se renseigner correctement, mais lorsqu'ils ont la vérité, ils ne peuvent pas l'appliquer dans la réalité, car aucun médecin, pas même un neurologue, ne prendra soin de leur enfant livré à la toute puissance de la psychiatrie. Certains parents se verront même enlever leur enfant de force pour être interné sans aucune possibilité de visites, sans renseignements sur l'état de leur enfant, et lorsque ceux-ci sortent, s'ils sortent, ils sont dans un état pire qu'avant, comme ces parents à qui on a retiré leur enfant parce qu'ils refusaient de le mettre sous drogue, il a été placé dans un centre psychiatrique pendant un mois. Avant, les parents pratiquaient la méthode TEACH à la maison, l'enfant allait aux toilettes seul, se lavait et s'habillait. À sa sortie de psychiatrie, leur enfant faisait ses besoins par terre, se tartinait avec, poussait des cris, et s'auto-mutilait, mais on ne peut pas porter plainte pour mauvais traitement contre ces hôpitaux. Hôpital et médecins, ça signifie soins et guérison, c'est pourquoi les centres psychiatriques ne devraient pas être appelés hôpitaux, parce qu'ils ne soignent rien et guérissent encore moins.

 

 

Dans la société actuelle, on veut vous faire croire de plus en plus que le monde est bâti sur le mode de celui de oui-oui où tout le monde est frère et peut vivre ensemble, où il faut être compréhensif, gentil, où la violence n'existe pas, où les autorités font toujours le meilleur pour le peuple. Plus vous verrez affichée cette image, plus terrible sera la souffrance derrière. Après tout si vous vivez le bonheur parfait, pourquoi devoir le justifier à tours de bras ? La France par exemple, met en avant un plan national autisme et en fait une grande cause nationale, sur papier. Dans le quotidien, qu'est-ce qui a changé ? Les plus riches construisent eux-mêmes leurs petits centres pour leur enfant ou parent. Bizarrement les riches ont le choix thérapeutique. Pourtant, on pourrait faire des centres pour pas cher. Pas besoin d'équiper ceux-ci avec la dernière technologie à la mode genre lumières encastrées et progressives, lits à eau, etc. Pas besoin des neuroleptiques à haute dose, des électrochocs. Une grande maison, un jardin avec piscine, bains thermaux, un potager, des animaux, des chambres individuelles munies de caméras dans lesquelles les malades dorment la nuit, ne restent pas attachés à leur lit toute la journée. Des préparations culinaires adaptées, sans gluten, sans caséine, sans additifs, sans conservateurs, bref naturelles. Un personnel qui travaille à mi-temps pour ne pas craquer, conscient qu'il faut être patient et disponible, des chambres pour calmer les crises où le malade ne resterait que le temps que la crise passe. Des tisanes calmantes, de la musique, du théâtre, du sport, des promenades, un apprentissage scolaire de quelques heures par jour, pas du bourrage de crâne comme la méthode ABA, et surtout le suivi par de vrais spécialistes. Des méthodes comme l'ergothérapie, l'étiopathie, la kinésiologie, sont à mettre en place. et bien d'autre médecines de par le monde.C'est tout le système qu'il faut changer.

 

 

Ne trouvez-vous pas étrange que les mêmes psychiatres à qui vous confiez votre enfant travaillent avec les multinationales pharmaceutiques ? Leur but n'est pas de soigner votre enfant, mais bien de faire vendre leurs drogues. Ce sont des dealers légaux à qui vous confiez la vie de vos enfants. Qu'est-ce qui vous fait agir comme ça ? Principalement deux choses : la peur et la croyance.

 

 

 

La peur des représailles, de ne pas faire juste, de perdre votre enfant, d'être jugé, de ne pas réussir seul. La croyance en l'état, aux médecins, à la propagande. Peut-on se passer de l'état et de ses institutions ? Oui, très clairement oui. A force d'être dirigé, vous en avez oublié votre propre pouvoir. Par exemple la simple solidarité. Vous faut-il des chefs comme le Ché pour vous rappeler qu'ensemble on est toujours plus fort ? Vous pouvez décider par vous-mêmes, vous ne ferez jamais pire que la psychiatrie. Ensemble, vous pouvez créer un centre, vous pouvez contacter des vrais médecins, vous pouvez vous exiler si un pays ne vous convient pas ou vous met des bâtons dans les roues. Bien sûr toutes ces solutions sont difficiles, mais chaque médaille a son revers : ou vous restez sous couvert de l'état, et assistez impuissant à la mort lente de votre enfant, comme cette mère dont le fils a été transféré dans un centre en Belgique, faute de place, sans même qu'on la prévienne, et qui est mort d'une surdose de neuroleptiques, ou vous choisissez vous-mêmes votre route en prenant le taureau par les cornes. A quoi ça sert de manifester, de crier, de tempêter, de créer des associations, si vous restez dans l'individualité ?

 

ensembles

 

Je vous engage à l'autonomie et pour ceux qui ne parviennent plus à gérer, posez votre enfant dans un hôpital et partez, exilez-vous. Que pourra-t-on vous faire ? Vous attaquer pour abandon d'enfant ? Pour négligence ? Que risquez-vous ? Certainement pas autant que de vivre avec un adulte schizophrène ou autiste. Bien sûr cette décision est dure, et condamne votre enfant à la psychiatrie, mais que deviendra-t-il si vous disparaissez ? N'est-ce pas finalement la finalité de tout malade neurologique ? Votre intervention n'y changera rien, même si vous passez votre vie à son chevet, si vous sacrifiez tout pour lui, lorsque vous serez décédé il finira en centre. Aucun animal ne sacrifiera ses enfants pour un qui est blessé. Mais les humains préfèrent sacrifier toute la famille plutôt que l'enfant malade. Les révolutions ne se sont jamais faites dans la dentelle, et oui les solutions sont dures, mais elles existent.

 

 

Alors quand vous pleurez, quand vous vous plaignez, au lieu de vous suicider, faites payer aux vrais responsables le prix de leurs erreurs. Laissez-leur votre enfant, parce qu'au final, il reviendra quand même à la société de s'occuper de lui. À moins que vous ne passiez le relais à un frère ou à une sœur qui non seulement aura sacrifié son enfance mais sacrifiera toute sa vie. Voulez-vous vraiment payer ce prix là ? Ne croyez pas que je sois une mère indigne ou désintéressée, j'ai moi-même un fils autiste profond, et après des années de guerre, de souffrance morale, physique, d'humiliations, et de demandes d'aides sans réponses, j'ai choisi de poser mon fils en Suisse. Je suis prête à en assumer les conséquences, quelles qu'elles soient. Vous seriez surpris de voir la réaction des autorités ou des médecins lorsque vous les mettez devant le fait accompli ou face à votre volonté. Posez-vous les bonnes questions : qu'avez-vous à perdre ? Trop souvent la peur guide votre volonté. Des questions du genre : je n'ai pas l'argent, comment pourrais-je partir ? Trouvent leur réponse dans : arrêtez de payer votre loyer, vos factures en général, et en à peine trois mois vous aurez de quoi partir. Pour les plus audacieux, faites un petit crédit que vous ne rembourserez bien sûr pas. Voler des voleurs, est-ce un délit ?

 

 

 

 

Autre question, comment pourrais-je vivre sans salaire ?

Vous avez trouvé du travail en France, pourquoi n'en trouveriez-vous pas ailleurs ? Les migrants qui arrivent en France sans même connaître un mot, ne se posent pas cette question. Bien sûr les aides financières qu'ils reçoivent au début sont un pallier que vous n'aurez pas, mais la suite est la même pour tous. Pourquoi cette peur de partir, comme si vous étiez englués à tout jamais là où vous vivez ? Bien que la société actuelle fasse tout pour vous maintenir en place, vous pouvez quand même partir et réussir ailleurs. Plusieurs témoignages sur le net vous en convaincront.

 

 

Voilà, je souhaite à tous les parents d'enfants handicapés neurologiques, de prendre leur destin en main, et de ne plus se laisser faire. Pour ceux qui n'ont pas cette force, je ne peux que compatir.

 

Bien sûr la solution de Gastiga Vilago reste la meilleure, alors rejoignez-nous !

 

À bientôt

 

 

 



16/04/2021
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