une brique dans le mur

1 Obtenir une véritable reconnaissance des parents d'autistes

Cela passe par une information claire à donner à tous les parents sur les difficultés rencontrées par les parents d'enfants autistes.

Offrir aux mairies et aux comités des parents d'élèves de toutes les écoles des DVD et brochures explicatives, tenir des conférences, parler autour de soi. Signez une pétition pour reconnaître le droit aux parents d'autistes qui ont abandonné leur métier, un vrai statut d'éducateur afin qu'ils obtiennent le droit à la retraite, voire même un salaire.

2 Ne plus considérer la psychanalyse comme un traitement

Les théories psychanalytiques ont depuis fort longtemps démontré leur incompétence. Il est temps qu'elles ne soient plus considérées au sein d'un processus de traitement, de thérapie ou de soin pour les autistes.

3 Laissez la liberté thérapeutique aux parents

Bien des textes de loi sont imprimés avec ce principe, mais il n'est pas respecté dans la réalité. Il est temps que cela change et que les parents qui veulent se tourner vers d'autres méthodes, soient libres de le faire sans qu'on les accuse de mauvais traitements, et que les services sociaux les privent de leurs enfants.

4 Cesser l'obligation vaccinale

Combien de temps encore devra-t-on subir des lois qui ont été faites pour enrichir les firmes pharmaceutiques et qui empoisonnent nos enfants ? Assez de cette oligarchie financière qui ruine notre santé et celle de nos enfants !

5 Obliger les psychiatres à démontrer leur taux de réussite et leurs échecs

Puisque les psychiatres sont considérés comme les spécialistes de l'autisme et des maladies neurologiques, il est juste de leur demander leur taux de guérison, voire d'amélioration desdites maladies. Finalement on s’apercevra que de toutes leur théories ne sont que du vent.

6 Exiger une meilleures information sur les véritables facteurs de l'autisme, être orienté vers de vrais experts.

Les parents doivent être les premiers à connaître les dernières découvertes, les méthodes testées doivent être à leur disposition et remboursées par la sécu(sécurité sociale en France). Ils ne doivent pas attendre vingt ans pour qu'une méthode soit enfin agrée par les scientifiques, alors que les tests sur des enfants malades prouvent que cela marche.

7 Ne plus prétendre que les psychotropes sont des médicaments qui soignent l'autisme, être toujours informés de ce qui est donné à votre enfant ainsi que les effets secondaires pouvant en résulter.

Dans la bible nous trouvons cette histoire simple dite par Jésus : « vous ne donneriez pas une pierre à votre enfant s'il réclame du pain, ou s'il demande un poisson lui donneriez-vous un serpent ?  La logique quant à elle vous parle le même langage : soyez à l'écoute de ce que vous dicte votre bon sens.

8 Cesser les internements abusifs et forcés

Les internements abusifs sont encore trop nombreux et restent, malgré les vies détruites, les êtres déchirés et traumatisés, impunis. Les internements sans consentement ne devraient pas exister. Car si comme le prétend la psychiatrie, ils sont à même de soigner, voire de guérir, les patients devraient êtres libres de venir, tout comme dans un hôpital, lorsqu'ils sont malades et d'en sortir lorsqu'ils vont mieux. Si certains patients ne se rendent pas compte de la gravité de leur état, ils n'en demeurent pas moins des patients et non pas des prisonniers. Ce système doit être révisé.

9 ouvrir des écoles mixtes

Tout comme cela a été fait en Espagne, il est fort possible de faire de l'école un lieu d'apprentissage pour tous. Mais pour cela il faudrait changer les bases du système scolaire tel que nous le connaissons.

10 Offrir aux élèves un cours sur les différents handicaps et la tolérance qui leur est due.

Les enfants ne sont pas prévenus, ni confrontés au handicap qu'est l'autisme et de ce fait, ils ne sont pas préparés à accueillir les enfants autistes en leur sein. Il faut instruire les élèves sur ce qu'est l'autisme afin qu'ils soient prêts à accepter l'autre avec son handicap.

11 des aides concrètes telles que des AVS au domicile

Les parents, trop souvent, sont seuls avec leurs enfants autistes et pourtant des méthodes nouvelles telles que A.b.A. ou Teacch préconisent une intervention à la maison. Ces méthodes coûtent trop cher aux parents et créent un clivage malsain entre parent riche et parent moins fortuné. Les assurances sociales devraient prendre en charge le coût de ses méthodes à domicile, ou celui d'un ou une auxiliaire.

12 Une formation plus claire aux policiers, pompiers, instituteurs, et autres fonctionnaires qui pourraient être amenés à s'occuper d'un enfant ou adulte autiste.

Souvent les fonctionnaires qui sont confrontés d'une manière ou d'une autre aux phénomène autistique sont empruntés, car ils n'y connaissent pas grand chose, voire rien. Cette méconnaissance peut avoir de graves répercussions sur un enfant ou adulte autiste.