La psychiatrie est-elle une science ?
La psychiatrie est-elle une science ?
Aujourd'hui si le le mot s'est élargi, la science n'en demeure pas moins tributaire de résultats basés sur des faits ; car autrement, comment comprendre une science de point de vue et de divagations diverses ? Dire de la psychiatrie que c'est une science, c'est un peu comme reconnaître l'astrologie comme l'une d'elle. Chacune se base sur du concret mais y brode des faits inventés.
La psychiatrie, la psychologie, la philosophie, sont considérées comme des sciences humaines, et pourtant elles ne reposent que rarement sur du concret. Vous allez me rétorquer que le médecin chercheur découvre aussi en observant les résultat sur des tests sur les animaux, et bien je vais vous surprendre : aucun test fait sur des animaux n'a JAMAIS donné de résultat probant ! La médecine humaine n'est certes pas en manque d'ignorance et de bévues, tels que les vaccins, certains médicaments ont provoqué des morts par centaines. La science qui repose sur des faits se corrompt et se compromet, teste et se trompe, alors que pensez-vous qu'il puisse advenir des sciences qui ne reposent que sur des points de vue, même si ceux-ci se basent sur des observations. On pourrait aisément admettre que les parents d'enfants autistes soient des spécialistes de l'autisme, puisque leur théories sont marquées sur des observation et tests.
Si en tant que parent vous osiez tester sur vos enfants, un dixième des horreurs que s'est permis la psychiatrie, assurément les services de protection de l'enfance vous auraient enlevé votre droit de garde, et vous auriez écopé même de quelques années de prison. Ce que les psychiatres annoncent comme un diagnostique n'est en fait qu'un jugement moral. Hier encore la psychiatrie considérait l'homosexualité comme une anomalie, une maladie mentale, une dérive. Jouer ainsi avec des humains voire des enfants, ne devrait plus être légal et les parents ne devraient pas se laisser manipuler par des discours alambiqués. Ce que les psychiatres font subir à leur patients, aucun humain sain ne saurait le supporter et pourtant la science psychiatrique impose à ses patients ces mesures à hautes doses. Il serait temps de revenir à la logique et au concret :
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en quoi est-ce scientifique d'effectuer des tests sur des patients déjà drogués ?
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En quoi est-ce scientifique d'enfermer pendant 48 heures, et peut-être plus, un adolescent un peu dépressif, dans une chambre fermée à clé, sans rien pour le distraire ?
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En quoi est-ce scientifique de drogué un patient un peu agité après toute une journée passée à ne rien faire ?
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En quoi est-ce scientifique de priver un enfant de voir ses parents pendant plusieurs mois ?
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En quoi est-ce scientifique d'accuser les parents de non implication envers leur enfants ?
Il faut rappeler que les hôpitaux psychiatriques ne sont pas des prisons et que les patients devraient avoir des droits. Dans la théorie il en est ainsi, hélas la pratique la contredit souvent.
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