Les vrais spécialistes de l'autisme part.3
Prof. Samy Sandhaus
Inventeur de la Zircone. Il enseigne l'implantologie non métallique et la biocompatibilité. Professeur à l'institut de Stomatologie à l'université Pierre et Marie Curie, Paris VI. Directeur du Forum Ondontologique de Lausanne en Suisse. Prix de la promotion et du prestige de l'UNESCO.
Directeur du Forum de Sévelin
Président d'honneur et Fondateur de la Société Internationale de Réhabilitation Orale
Le professeur Sami Sandhaus, diplômé en 1959 de l'université de Düsseldorf en médecine et médecine dentaire, a poursuivi une spécialisation en stomatologie et chirurgie maxillo-faciale à l'université de Paris VI dans le service du Professeur Dechaume.
Sa vie a été consacrée à la recherche, et plus particulièrement à l'innovation dans le domaine de l'implantologie orale.
Ses travaux sont basés sur la mise en oeuvre d'implants n'induisant pas le relargage d'oxydes dans les tissus osseux tels ceux provenant des implants métalliques.
Son premier implant céramique a vu le jour en 1960:
C'était l'implant CBS (Crystalline Bone Screw) en oxyde d'alumine.
Auteur de nombreuses publications dans différentes langues:
Nouveaux aspects de l'implantologie - L'implant C.B.S. (Français 1963)
Neue Aspekte der lmplantologie (Medica Verlag - 1975)
Ricostruzione Orale - Premese per un successo - Technica operative, passo per passo (Italien 1974)
Orale Rehabilitation - Voraussetzungen für einen Erfolg - Technik Schritt für Schritt (Allemand 1977)
L'occlusion - Le Système NOR (Français 1990)
Il a actuellement en chantier la réalisation d'un Atlas prothétique et de casuistique.
Une carrière basée sur l'enseignement, la recherche et la mise au point de techniques et d'une instrumentation performante (plus de 75 inventions originales), tel a été le cheminement scientifique du professeur Sandhaus.
Il a consacré 13 années de sa vie à l'enseignement au Fortbildungsinstitut de Karlsruhe en Allemagne. Depuis 1985, il est professeur titulaire à l'université Pierre et Marie Curie à Paris VI, Institut de stomatologie et de chirurgie maxillo-faciale.
Actuellement, un nouveau matériau, la zircone TZP, 5 fois plus résistant que les matériaux précédents, a été mis au point.
Ses travaux récents ont aboutit à la mise au point de l'implant zircone millenium et d'une instrumentation basée sur la robotique. Celle-ci permet une approche et une intervention précise de mise en place d'implants par la computérisation de l'acte chirurgical.
Faut-il ajouter encore les nombreuses conférences présentées à travers le monde, du Japon aux USA, en passant par tous les pays d'Europe. Celles-ci étant toujours assorties de démonstrations pratiques et chirurgicales de poses d'implants biocéramiques.
Dr. Bernard Filletaz
Doctorat en médecine dentaire de Genève, médecin dentiste spécialisé dans la dépose sécurisée des amalgames.
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Pr. Michel Georget
Professeur Honoraire des classes préparatoires aux Grandes Ecoles. Agrégé de biologie. Auteur du livre "Vaccinations : les vérités indésirables
Allergies liées aux vaccinations
Professeur Maurice Rabache
Docteur en nutrition-Paris VI; ingénieur chimiste, spécialité chimie agricole et biologique; chef de projet Toxicologie et environnement au CNAM. Recherche sur la toxicité et la cancérogénecité des contaminants avec le CNRS. Officier des palmes académiques. Membre de commissions d'experts de l'Union Européenne sur la contamination de la chaîne alimentaire. Auteur du livre "Les toxiques alimentaires"
Pour en savoir plus, voici quelques extraits du livre que je vous conseille vivement de lire en entier.
LES BANANES
Ces fruits, achetés dans la presque totalité des magasins d’alimentation sont cueillis verts et transportés par bateaux, dans des chambres où la température n’excède pas 12°.
Les bananes proviennent de bananeraies traitées chimiquement et notamment au moyen du HCH (hexachlorocyclohexane). Celui-ci est interdit en usage agricole sur le sol métropolitain. Avant leur départ, les fruits sont plongés dans des bains de Thiabendazole agrémentés de tensioactifs et antimoussants. Sont également utilisées les pulvérisations ou bains d’Imazalil et nitrate d’Imazalil. Ainsi, et seulement ainsi, les bananes peuvent supporter sans dommages un voyage de plusieurs semaines.
A son arrivée, la banane ne peut être livrée verte au consommateur. Elle est alors entreposée en mûrisserie et soumise à l’action simultanée de la chaleur (chaude et humide) et du gaz éthylène (pur ou associé à de l’azote). Ce dernier a la propriété de favoriser la pigmentation jaune de la peau.
La banane ainsi mûrie reste très indigeste. La lente transformation de l’amidon en
sucres assimilables n’a pas eu lieu. Et nous ne parlerons pas des résidus de produits chimiques qui, ayant traversé la peau, viennent souiller le fruit.
Evitez d’en donner trop souvent aux enfants
Bien plus saines sont les bananes sèches ou les fruits cueillis suivant l’expression « tournant vert » et transportés par avion, mais aussi plus rares ! Ces dernières ont toutes les qualités des bananes mûries sur l’arbre (elles ne renferment plus d’amidon, mais des sucres naturels), sans avoir subi les traitements de conservation. Ainsi consommée, la banane est un aliment énergétique et sain que nous recommandons à tous.
LE SUCRE BLANC
Le sucre blanc passe par diverses manipulations, dont le résultat est l’élimination de tous les éléments nutritifs du végétal original, la canne à sucre ou la betterave sucrière. Pour cela, on assiste successivement :
- à une neutralisation des acides organiques par utilisation de chaux éteinte.
- à une défécation ou clarification du sirop. Cette dernière opération est menée à bien par l’un des deux procédés décrits ci-dessous :
• Procédé CALCO-CARBONIQUE : Chauffage, rechauffage du jus sucré puis carbonisation par barbotage d’anhydride carbonique. Après filtrage sous pression, sulfitation par adjonction d’anhydride sulfureux. Enfin, bouillissage ayant pour but de décomposer les bisulfites qui pourraient encore exister.
• Procédé TEATINI : nécessite moins de chaux, mais l’anhydride carbonique est remplacé par l’anhydride sulfureux.
Le jus est ensuite mis à décanter avant d’être soumis à :
- une décoloration au sulfoxylate de sodium ou au noir animal en grains.
- un raffinage –le sirop décoloré est clarifié au moyen de terres activées ou de noir animal, puis déshydraté par chauffage avec emploi d’alcool isopropylique, acétate de sodium, etc.
- et un azurage – dernière opération qui consiste à ajouter du bleu anthraquinonique au sucre afin de lui donner cette belle couleur blanche.
Pouvons-nous encore considérer ce produit comme un aliment ? Certes non et ceci pour diverses raisons :
. C’est un produit chimiquement pur, lavé de tout constituant nutritif (vitamines, sels minéraux, etc.)
. les produits utilisés pour le raffinage sont toxiques Il en reste des traces dans le produit final.
. ce sucre blanc est décalcifiant et cariogène.
. Il fournit des calories totalement vides.
. Le sucre blanc fait grossir, constipe, accroît l’appétit et rend dépendant comme le tabac ou l’alcool. C’est une drogue.
Conclusion : le remplacer par du sucre roux ou encore mieux du sucre brut. Ces sucres sont vivants, anticarie et reminéralisants … tout le contraire du sucre blanc.
LES BONBONS ET LES CONFISERIES
Véritables poisons pour l’être humain de par leurs compositions, outre l’inévitable sucre blanc raffiné, bourreau de notre émail dentaire, le sirop de glucose, le sirop de sucre mélassé, glucose, dextrose, gélatine de boeuf, amidons modifiés, lait écrémé sucré, lait en poudre, protéines de lait, farine, graisses animales hydrogénées, fécule de maïs, huiles végétales raffinées et hydrogénées, sirop de maïs, conservateurs (acide sorbique, sorbate de potassium et calcium) antioxygènes (acide ascorbique), émulsifiants (lécithine mono et diglycérides d’acides gras ainsi que leurs esters lactiques, sucroesters, sucrogycérides, etc.), épaississants (alginates, agar-agar, carraghénanes, gomme adragante, gomme arabique, pectine), stabilisants (sorbitol, glycérol), acidifiants (acides lactique, citrique et tartrique, lactates de sodium, de potassium et de calcium, citrates de sodium et de potassium, tartrate acide de potassium, etc.), colorants (la liste est fort longue aussi ne citerons-nous que le caramel, le noir brillant BN, le vert acide brillant BS), arômes artificiels (acétate d’amyle pour le goût banane, l’éthyl maltol pour la fraise, l’acétate de butyle et l’acétoine pour le goût fruité, etc.).
Pas étonnant que les dents puissent fondre en même temps que le
sucre !
LES CREMES GLACEES
Quel régal de déguster une glace ou une crème glacée dés l’arrivée du printemps. Faites « maison », elles ne présentent que peu d’inconvénients (à condition de ne pas en abuser bien sûr) si ce n’est quelques petits désordres digestifs. Pour les glaces industrielles, il en est tout autrement et l’on serait toutefois tenté de commander une glace…parfum « additif ».
Jugez-en vous-même ; ces différents produits peuvent se côtoyer :
- Emulsifiants : mono et diglycérides d’acides gras (E471), esters acétiques, lactiques, citriques, des mono et diglycérides d’acides gras (E472a, b et c).
- Epaississants et gélifiants : alginate de sodium (E401), alginate de potassium (E402), alginate d’ammonium (E403), agar-agar (E406), carraghénanes (E407), farine de graines de caroube (E410), gomme arabique (E414), gomme xanthane (E415), pectine (E440), pectine amidée, carboxyméthylcellulose (E466).
La plupart des gélifiants cités ci-dessus proviennent des algues. Ils sont réputés pour n’avoir aucune toxicité…ce que nous ignorons, c’est la façon dont ils sont extraits.
Le E466 aurait comme effet de ralentir le transit intestinal et d’augmenter le taux de graisse dans les selles.
1 - Stabilisants : orthophosphates de calcium (E341). A côté de ce stabilisant : des traces de polyphosphates, triphosphates, orthophosphates de sodium, orthophosphates de potassium peuvent venir souiller votre crème glacée. Ces derniers sont utilisés pour la fabrication de certains émulsifiants comme les carraghénanes, pectines et alginates.
Le phosphore qu’ils contiennent pourrait perturber l’équilibre calcium-phosphore.
Des études complémentaires ont été demandées.
1 - Bien sûr des colorants : leur nombre est si élevé que nous n’en citerons, pour mémoire, que quelques uns : curcurmine (E100), jaune de quinoléine (E104), jaune orangé S (E110), cochenille (E120), azorubine (E122), etc.…
Nombreux sont ces produits interdits aux asthmatiques et aux allergiques.
1 - Et des arômes artificiels : en dehors de l’action nocive de certains additifs, les glaces et crèmes glacées peuvent ‘être cause de nombreuses intoxications (décongélation-recongélation) par staphylocoques. Les principaux signes sont diarrhées et vomissements avec absence de fièvre.
LES BOISSONS GAZEUSES A BASE DE COLA
Nous faisons ici une place tout à fait spéciale à ces « boissons à base de cola ». Véritables drogues, elles agressent le système nerveux des nombreux enfants qui les consomment régulièrement.
A l’origine de ces boissons, une simple tisane de feuilles de cocaier et de noix de kola, mise au point par John Pemberton en 1866 à Atlanta…Cette « infusion » n’était déjà pas à mettre dans toutes les « bouches » : les feuilles de cocaier renferment des alcaloïdes dont la cocaïne,- stupéfiant du système nerveux- et les noix de kola sont riches en excitants tels que caféine et théobromine. Pour tonifier encore ce breuvage, de la caféine, de l’acide phosphorique (encore un excitant ; il a la propriété de perturber la sensibilité fonctionnelle normale du cerveau) et des acides fluorique et benzoïque pour la conservation sont ajoutés. Ces diffèrents constituants (et en particulier la synergie cocaïne + caféine + acide phosphorique) font de cette boisson, et par l’accoutumance dont elle est responsable, une véritable drogue.
Plus on boit, plus on a envie de boire, etc.
Le résultat est un gaspillage insensé des réserves énergétiques de l’enfant par une excitation factice.
Le revers de la médaille : fatigue et altération du système nerveux. Les dents et le système digestif ne sont pas épargnés
Un conseil : Là encore, seuls les jus de fruits naturels sont à conseiller aux enfants…comme aux adultes.
LES BOISSONS GAZEUSES ET LES SODAS
Pétillantes et colorées, elles font la joie des enfants auxquels on les donne sans méfiance.
Il faut savoir que ces limonades, boissons gazeuses et sodas sont de véritables cocktails de produits chimiques et n’ont de boissons que le nom. Du saccharose, du maltose et du glucose peuvent les sucrer (et maintenant l’Aspartam), des acides lactiques, tartriques ou citriques sont utilisés comme acidifiants, des acides sulfuriques, sorbiques ou benzoïques (ce dernier attaque l’émail des dents) assurent la conservation, l’acide ascorbique prévient l’oxydation. Le tout est gazéifié au moyen d’anhydride carbonique (cause de certaines dilatations de l’estomac), etc.
JE VOUS LAISSE LE PLAISIR DE DECOUVRIR VOUS-MEME LES FROMAGES, CHARCUTERIES, CHOCOLAT, CAFE, VINS, etc., qui se trouvent mentionnés dans le livre de C. et L. Clergeaud « ON…NOUS EMPOISONNE », titre tout à fait adéquat.
Important !
1 Choisir des aliments naturels, sans additifs suspects ou dangereux pour la santé
2 Bien lire les étiquettes énumérant les composants du produit
3 Ne pas confondre son estomac avec une poubelle
et surtout
1 Savoir que le capital santé de nos enfants est entre nos mains et que nous sommes responsables de leur alimentation.
La plupart du temps, nous sommes de simples parents sans aucune formation diététique . Ces problèmes alimentaires sont issus de la vie moderne, car il y a 50 ans, le problème ne se posait pas ; les produits étaient quasiment à l’état naturel. Maintenant, trois quarts des produits sont transformés.
Il est donc urgent que les parents, devant un problème de santé ou un déséquilibre nerveux comportemental de leurs enfants, prennent conscience que la nourriture est souvent responsable, malgré ses beaux emballages colorés et son bon goût artificiel.
Faire le mieux pour nos enfants n’est pas une contrainte, nous leur mettons bien les chaussures adaptées à leurs pieds pour qu’ils puissent bien courir, pourquoi pas de la bonne nourriture pour qu’ils puissent bien grandir avec le sourire!
Pour plus de renseignements sur les spécialistes de l'autisme
Maintenant quand on vous parlera des spécialistes de l'autisme, vous ne verrez plus un psychiatre ou un psychologue.
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