La spagyrie
Qu'est ce que la spagyrie ?
Remède naturel au même titre que la phytothérapie, l'homéopathie, les fleurs de Bach et les sels de Schüssler, la spagyrie réunit le potentiel de toutes ces thérapies en un système thérapeutique cohérent en lui-même et fondé avant tout sur la recherche de la cause profonde des maladies.
Les plantes se trouvent au centre de ce système thérapeutique : au cours du processus complexe permettant de transformer la plante en une essence spagyrique, le potentiel curatif énergétique de la plante se développe.
Pour le spagyriste, la plante n'est pas seulement une source de nombreux principes actifs, dont certains peuvent être extraits, mais elle possède également une force thérapeutique cachée qu'il est possible de libérer et même de potentialiser par un procédé complexe issu de l'alchimie.
Les essences spagyriques
La production d'une essence spagyrique selon le Dr Zimpel est fondée sur trois étapes essentielles, à savoir, la fermentation, la distillation et la calcination. Ces trois étapes permettent d'extraire à la fois les huiles essentielles (et d'autres substancesaromatiques), les substances minérales et les oligo-éléments propres aux plantes. L'avantage d'une essence spagyrique réside donc dans le fait qu'elle contient non seulement des substances organiques, mais aussi inorganiques.
Pour la fabrication des essences spagyriques, la maison PHYLAK utilise dans la mesure du possible des plantes fraîches de haute qualité. Environ 90 essences sont disponibles, préparées souvent à partir de plantes médicinales traditionnellement utilisées par la médecine populaire. Bien des plantes indigènes comme par exemple le millepertuis, l'achillée, le marronnier et la camomille, mais aussi plusieurs plantes thérapeutiques venues d'autres régions du globe comme l'okoubaka et le quinquina entrent dans la production des essences spagyriques.
Traiter la cause de la maladie
Pour guérir d'une maladie, il faut s'efforcer de comprendre pourquoi la maladie s'est déclarée et quel est le message de cette maladie.
C'est ainsi que les essences spagyriques soutiennent la guérison. Cette démarche est radicalement différente des thérapies visant uniquement à la suppression du symptôme. Le but d'un traitement en spagyrie est de rechercher la cause des troubles, le facteur déclenchant, afin de cibler le traitement pour assurer la guérison.
Les domaines d'utilisation des essences spagyriques sont étendus. Le principe de base est que le corps est capable de se rééquilibrer et de retrouver la santé à l'aide de la force curative de mélanges de plantes. La Spagyrie peut apporter un soulagement dans beaucoup de maladies, qu'il s'agisse de troubles aigus ou chroniques et se prête aussi très bien à des traitements prophylactiques. Même en cas d'utilisation prolongée aucun effet indésirable n'a été observé.
On répète depuis des siècles que la médecine fait des progrès, certes mais vont-ils tous dans le bon sens, celui de notre guérison ?
Je vous cite un extrait de l'excellent livre L'impératrice nue de Hans Ruesch :
« Quand vont-ils comprendre qu'il y a surabondance de médicaments ? Pas moins de 150000 préparations sont actuellement utilisées. Environ 15000 mixtures et préparations sont annuellement jetées sur le marché, alors qu'environ 12000 en disparaissent...
Nous n'avons tout simplement pas assez de maladies pour pouvoir répondre à l'offre.
Actuellement, la contribution la plus utile est le nouveau produit permettant de neutraliser les effets indésirables provoqués par les autres nouveaux médicaments. Depuis 1961, le nombre total de préparations pharmaceutiques présentes sur le marché mondial s'élève à près de 205000 et les nouvelles maladies ont augmenté dans les mêmes proportions.
Selon la food and drug administration, 1,5 millions d'américains durent être hospitalisés en 1978, suite à l'absorption de médicaments (supposés les « guérir » d'un quelconque trouble). De plus, environ 30% de tous les hospitalisés présentent des troubles nouveaux, causés par la thérapeutique qui leur est appliquée de force. Le nombre de personnes tuées aux USA par l'absorption de médicaments est estimé à près de 140000 par an. »
Soit la population de Brest chaque année.
Si nous retrouvions la base de la médecine ? Celle que préconisait ses pères, comme : Hypocrate, Caton l'ancien, Pedanius Dioscoride, Guy de Chauliac, Henri de Mondeville...
Hippocrate 460 av. J.-C. - 370 av. J.-C. avait établi 5 percepts :
-
en premier lieu ne pas nuire ("primum non nocere")
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la nature est guérisseuse ("vis medicatrix naturæ")
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identifier et traiter la cause ("tolle causam")
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détoxifier et purifier l'organisme ("deinde purgare")
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la naturopathie enseigne ("docere")
Caton l'ancien 234 Av. J.-C. -149 av. J.-C.
L'importance sociale du médecin, par son pouvoir de vie et de mort sur les malades, a très tôt été reconnue non sans susciter des résistances, incarnées par Caton l'ancien qui défendait les mœurs austères de la Rome antique contre la décadence apportée par les médecins grecs. Caton l'Ancien, dans son De agri cultura explique comment se préserver des maladies par une vie saine et donne les procédures médicales pour se soigner seul. Il préconise le chou comme médicament miracle. Il considérait la maladie comme une épreuve destinée à former le caractère et peut-être aussi, sans le dire expressément, comme une forme de sélection naturelle.
Pedanius Dioscoride 20 - 90
Est le précurseur de toutes les pharmacopées. Son livre De Materia Medica en 5 volumes est l'un des livres de botanique médicale les plus importants de l'histoire.
Guy de Chauliac 1300 -1368
Il y étudie les diagnostics différentiels des hernies, et décrit l'intervention pour la cure radicale de la hernie.
Il discute de l'anatomie des dents et de leur éruption et fait une liste des maladies des dents, de leur traitement et de la prévention par l'hygiène dentaire; il recommande de se laver les dents avec du vin ou du vin mélangé à du poivre et de la menthe comme dentifrice. il décrit le davier et son utilisation. Guy de Chauliac est le premier à utiliser le terme de "dentateur" et "dentistes" qui sera repris par les anglais.
Il décrit le traitement des fractures des os utilisant des bandages et des poids, et la contention par bande élastique.
Il préférait la cautérisation à l'extirpation.
Il décrit les excisions des tumeurs superficielles, les infiltrations au sens étymologique (passage d'un liquide au travers d'un tissu…),
Il analyse de nombreuses recettes dites "endormitives" à base de mandragore, opium, ciguë, laitue, etc. et les façons pour le chirurgien d'éviter les douleurs en utilisant la phytothérapie
Il écrit que la nourriture ne doit pas être mangé trop chaude, ni trop froide, qu'il ne faut pas se servir des dents comme des pinces coupantes ou manger des sucreries.
Il évoque différents médicaments contre la mauvaise vision, opère les cataractes mais ajoute :"Si cela ne marche pas, il faudra que le patient utilise des lunettes".
Henri de Mondeville 1260 -1320
Est le plus ancien des auteurs français qui aient écrit sur la chirurgie.Henri de Mondeville, novateur et rebelle : les raisons d'un oubli
Originaire de Normandie, Henri de Mondeville (1260-1320?) est le plus ancien auteur français qui ait écrit un traité de chirurgie. Chirurgien de Philippe le Bel, il appartenait alors à une catégorie rarissime en son temps, celle des chirurgiens clercs lettrés qui, ayant fait des études de médecine, possédaient un savoir théorique et pratique. Son caractère novateur apparaît autant dans sa pratique que dans son oeuvre écrite. Hostile à la suppuration des plaies, il défendit le pansement sec, qui aurait pu amener une révolution
en chirurgie, s'il avait prévalu. De même il recommandait d'éviter la douleur.
Il fut également le premier à avoir utilisé des planches anatomiques pour son enseignement, et peut être réalisa-t-il la première anatomie en Occident. En s'opposant à ses contemporains et aux mentalités de son temps, il apparaît souvent dans ses écrits comme un transgresseur, ses idées novatrices n'étant pas reconnues à leur juste valeur. Proche de la pensée nominaliste, il défendait une démarche que l'on pourrait qualifier d'être déjà sensualiste et pragmatique. Revendiquant l'autonomie de la science par rapport à la théologie, on assiste à travers lui à la naissance de l'esprit laïque. Défendant l'unité de la médecine et de la chirurgie, Mondeville voulait faire de son art une spécialité dépendant d'une nouvelle science médicale, basée sur l'anatomie. Hostile à la tradition médiévale du mystère, il chercha à divulguer son savoir par l'écrit. Son œuvre sera injustement oubliée, à l'inverse de celle plus tardive et plus conformiste de Guy de Chauliac, qui sera considéré bien souvent comme le "Père de la chirurgie française". Injustement oubliée, l'œuvre de Mondeville mérite d'être redécouverte et réhabilitée. Source
Le médecin pouvait être tenu pour responsable ou criminel en vertu de la lex Cornelia de sicariis et veneficis, loi datant de Sylla (81 av. J.-C.).
« Est tenu de la loi Cornelia celui qui a tué un homme libre ou esclave ; celui qui, dans l'intention de donner la mort, a confectionné et vendu du poison ; celui qui a blessé dans l'intention de tuer ; celui qui a vendu au public des médicaments dangereux, ou en a conservé dans des intentions homicides.
Aujourd'hui beaucoup de médecins seraient sur le banc des accusés selon cette loi.
Les médecins de l'Antiquité avaient compris que l'état général d'un patient influençait son risque de contracter une maladie. Le serment d'Hippocrate obligeait les médecins à donner l'exemple par une vie saine. Ils considéraient que la première cause des maladies était l'absence d'hygiène de vie ; il fallait travailler au grand air et vivre sainement. Végèce expose également qu'éviter aux légions de traverser les zones marécageuses, leur évitent les maladies.
On constate aujourd'hui que loin de donner l'exemple, les médecins ont des manières de vivre malpropres : ils mangent trop de viande, ne contrôle pas ce qu'ils mangent, et certains fument du tabac. Les pires se droguent à la cocaïne pour tenir les cadences infernales de leur dur métier. Il n'y a aucun contrôle de la médecine à proprement parler, ni des médecins. Il y a bien une police des police, mais pas pour les médecins ! De ce fait quand un patient meurt lors d'une intervention banale, personne ne remet en cause le médecin qui l'a pratiquée. Lorsqu'il y a un accident d'avion ou de train, on met tout de suite en avant l'erreur humaine. Alors la médecine est-elle devenue une déesse intouchable faite de dogmes et de tabous ?
J'en veux pour preuve cette anecdote personnelle sur la Spagyrie :
Mon fils avait quelques mois quand je suis allée le faire vacciné (erreur que je paie aujourd'hui). Il a reçu le ROR et BCG. En Suisse la vaccination n'étant pas obligatoire, je me suis laissée convaincre par un médecin formaté par la propagande, persuadé des bienfaits de la vaccination. Une ou deux semaines plus tard, le corps de mon enfant s'est couvert de tâches rouges, il pleurait sans cesse et se grattait. Bien sûr, dès sa naissance il montrait des signe d'autisme, mais je n'étais pas avertie de ce danger et de cette maladie. Quoi qu'il en soit les vaccins n'ont rien arrangé. Je retourne chez le pédiatre inquiète de ses tâches rouges et j'apprends que mon gosse a de l’eczéma. Pas quelques point rouges épars, mais des tâches sur tout le corps, j'en était toute retournée.
Le pédiatre préconise que nous allions voir une dermatologue, ce que je fais au plus vite. Celle-ci me donne une crème à base de cortisone. Sachant les effets secondaire de la cortisone, je m'inquiète de savoir s'il n'y avait pas un traitement moins abrasif. Elle me répond que c'est le seul traitement efficace, tout en me précisant qu'il devra en mettre toute sa vie, car l'eczéma est chronique. Je lui dis que je préfère aller voir une naturopathe et elle ouvre des yeux tout grands.
Je vais donc voir la naturopathe qui propose pour mon fils un traitement par la spagyrie. Heureusement le droguiste de ma ville prépare des essences spagyriques. Je le consulte et lui explique le problème de mon garçon. Il dit qu'il existe effectivement en spagyrie des mélanges pour guérir l'eczéma. Je l'informe que la dermatologue m'a dit que l'eczéma ne se guérissait pas, il me soutient le contraire. Il me prépare donc deux potions différentes :
La première qu'il appelle, prise de conscience, et la seconde thérapeutique. En spagyrie, il est nécessaire, parfois, sur des affections récurrentes ou des allergies, de faire prendre conscience au corps, que ses anti-corps attaquent les bonnes bactéries et provoquent des désordres au lieu d’améliorer la santé du corps. Peu convaincue, mais en confiance de mon , et parce que la spagyrie n'engendre pas d'effets secondaires, je commence le traitement.
J'en parle à mes amis et à quelques voisins, les réactions sont unanimes : « mais tu es complètement folle ! Il ne faut pas prendre ça à la légère, c'est grave un eczéma » ou alors : « tu pense à ton pauvre enfant qui souffre ? » bref je me sens un peu coupable, mais je poursuis le traitement. Le droguiste m'avait prévenue, il faut attendre une semaine avant que la spagyrie agisse. En effet, deux semaines plus tard je cours honteuse chez le droguiste : l'enfant est couvert de plaques rouges, plus épaisse et nombreuses qu'avant. Et si tous les autres avaient raison ? Si je m'était laissée bernée par des théories farfelues ? Le droguiste écoute mes craintes et me rassure : « c'est naturel et c'est un bon signe, le corps de votre enfant rejette la maladie. » Je lui explique que mes amis ne voient pas cela d'un très bon œil et il me dit : « quand ils verront votre fils guéri, ils n'y croiront pas encore. »
Je poursuis le traitement et miracle ! Un mois plus tard mon fils était guéri !
Plus une seule trace d''eczéma ! Je cours chez mon droguiste et le remercie du fond du cœur pour son soutien. Il avait raison sur toute la ligne, y compris sur mes amis et voisins. Mais le plus choquant pour moi, fut de voir le pédiatre nier les effets de la spagyrie, alors qu'il avait vu l'état de mon fils avant ; et de m'assurer que la maladie reviendrait, l'eczéma cela ne se guérit pas.
Mon fils a aujourd'hui 20 ans et s'il a fait quelques mini rechutes, deux semaines de spagyrie et puis fini. Mon fils est guéri de son eczéma !
Je vous en supplient ne croyez pas aveuglément les médecins ! Les alternatives existent et la nature est plus forte qu'on le croit. N'oublions pas que les premiers médecins étaient de simples esclaves. Pensez logiquement et renseignez-vous par tous les moyens ! Les essences de spagyries font des miracles !
Pour tous ceux et celles qu_e la spagyrie intéresse,
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